Randonnées

Pour maintenir des espaces de quiétude pour la faune sauvage, restez sur les sentiers, ne multipliez pas les traces de ski et de raquettes. Les lisières de forêts sont des zones d’habitat favorables aux animaux, en particulier pour le tetras lyre.

Le bruit (cris, drone, etc...) génère de l’inquiétude chez les animaux sauvages se traduisant par la fuite qui vous empêchera de les observer. Cette dépense d’énergie les pénalise encore plus en hiver.

Un paysage tout en fleur vous apportera plus de satisfaction qu’un éphémère bouquet et les autres randonneurs pourront eux aussi en profiter.

Chercher à se rapprocher des animaux conduit le plus souvent à les faire fuir. En vous munissant de jumelles, vous pourrez les observer plus longuement. Par ailleurs, les empreintes et indices de présence laissés par les animaux sont un livre à ciel ouvert.

Assimilés à des prédateurs, les chiens sont perçus comme une menace par les animaux. Non attachés, il peuvent échapper au contrôle de leurs maîtres, poursuivre un animal, détruire une nichée, etc...

Certains déchets mettent plusieurs années à disparaître et sont sources de pollution diverses. Les restes alimentaires attirent aussi les prédateurs qui peuvent être une menace pour les autres animaux.

Que ce soit à la 1/2 journée ou à la journée, confectionnez votre fond de sac en fonction des caractéristiques de la randonnée et n’oubliez pas d’emporter avec vous le matériel indispensable pour parer à toutes éventualités.

C’est bien connu, en montagne la météo peut changer très rapidement. Pensez toujours à bien vous renseigner sur les conditions atmosphériques durant votre créneau d’activité. Une matinée ensoleillée peut se dégrader en une après-midi orageuse.

La bonne cohabitation entre les pratiques ancestrales en montagne et les randonneurs est primordiale. Avant de partir, informez vous sur les secteurs paturés par les troupeaux et les bons gestes à adopter à leur approche.